“Histoires de la Baraque”: c’est le titre du spectacle. Il tient son nom de ce qu’il y a une baraque. Et qu’il y a des histoires qui se racontent dedans. C’est un petit théâtre ambulant de bric et de broc. Il bouge. Un jour ici et le lendemain par là. Et offre une histoire à la fois. Une par trente minutes.
Pour ce rendez-vous, Thierry Lefèvre a choisi le cimetière du Dieweg, car une vie culturelle existe après la mort et à ce titre, le cimetière du Dieweg est certes un endroit où culture et patrimoine se retrouvent dans chaque allée. Aujourd’hui il est devenu le refuge d’une grande diversité botanique, qui attire insectes, oiseaux et rongeurs. On a pu compter plus de deux cents espèces de plantes sur une superficie de moins de trois hectares. Les ‘Histoires de la baraque’, c’est un théâtre ambulant qui offre des histoires. Les personnages sortent de l’ombre et racontent une fois les lumières éteintes. Ceux-là se dévoilent en clair-obscur avec une lampe de poche sous le menton comme lorsque que l’on joue à faire peur. Ce sont des masques qui parlent. Drôles d’hommes et de femmes. Parfois à la limite de l’animal. Aujourd’hui la baraque est en morceaux et dort dans un garage mais les personnages attendent la prochaine sortie pour faire entendre leurs histoires…