« Toujours garder ses amis proches et ses ennemis encore plus proches ! »
« Si nous ne pensons pas toujours ce que nous disons, disons-nous toujours ce que nous pensons ? Daniel invite à dîner, contre l’avis de son épouse, son meilleur ami et sa nouvelle conquête. L’apparition de la jeune et sublime créature agit comme un catalyseur et provoque une tempête dans la tête des maîtres de maison, bousculant leurs certitudes, réveillant frustration, jalousie et aigreur. »
Un Zeller de premier choix qui parle à tous ! Avec finesse et justesse, l’auteur explore ici le cœur des cinquantenaires confrontés à la réalité du temps qui passe et l’envie de vivre encore des choses loin de la routine journalière. Toute la mécanique du boulevard est là, mais en général dans ses pièces, l’intérêt se porte moins sur ce qui est dit que sur ce qui ne l’est pas. Ici, c’est tout le contraire. L’originalité de « L’Envers du décor » réside dans le fait que le public est le témoin et le réceptacle des pensées des personnages qui s’expriment en aparté. Les acteurs jonglent en permanence avec la technique du double langage et une vérité comique, cruelle et merveilleusement pathétique, apparaît.
Hilarant ! On rit sans interruption !
Le Point
Une pièce cruelle et drôle !
Figaro Magazine