Avec son climat ensoleillé, ses plages de sable blanc, ses eaux cristallines, ses paysages sauvages, sa gastronomie, sa douceur de vivre et sa vie festive, l’archipel des Baléares attire chaque année des millions de visiteurs en quête d’évasion et de dépaysement. Les Baléares ont traversé les siècles au rythme des différentes civilisations qui leur ont donné leur splendeur, leur authenticité, mais aussi un patrimoine culturel et historique impressionnant.
Au large des côtes espagnoles, deux groupes d’îles forment l’archipel des Baléares : les Orientales, MAJORQUE et MINORQUE et les Occidentales, IBIZA et FORMENTERA.
Certains reprochent aux Baléares d’être défigurées par une urbanisation touristique intensive. C’est vrai, pour la Baie de Palma ou encore pour certaines plages d’Ibiza.
Mais ces quelques kilomètres de plage envahis par les touristes, ne représentent qu’une infime partie de ses côtes rocheuses, souvent escarpées, sauvages, ponctuées de criques de sable blanc et d’eaux cristallines.
Comme toutes les îles méditerranéennes, les Baléares ont eu leur part d’invasions, de guerres, de prospérité et de famine. Elles connurent successivement la domination des Phéniciens, des Grecs, des Carthaginois, des Romains, des Vandales et des Arabes. Elles furent longtemps le théâtre d’affrontements entre l’islam et la chrétienté.
Les Baléares ont traversé les siècles au rythme des différentes civilisations qui leur ont donné leur splendeur, leur authenticité et un patrimoine culturel et historique impressionnant.
Avec leur climat ensoleillé, leurs plages de sable blanc, leurs eaux cristallines, leurs paysages sauvages, leur gastronomie, leur douceur de vivre et leur vie festive, les Baléares attirent chaque année des millions de visiteurs en quête d’évasion et de dépaysement.
Présentateur radio et télévision en Belgique, en France et au Luxembourg depuis 1980, producteur d’émissions de flux, de magazines animaliers et nature mais aussi d’événements, pour RTL puis pour la RTBF, il a réalisé une quinzaine de films documentaires. Il est aussi auteur de livres nature, animaliers et de voyages.
Son esprit d’explorateur-aventurier l’a mené avec ses caméras aux 4 coins de la planète, de l’Antarctique aux Galápagos, de la Guyane française au Continent Indien, de l’Okavango à l’Himalaya… Il a dirigé « Exploration du Monde » en Belgique, coréalisé – déjà avec Max Dauber – deux films-conférences de long-métrage sur la Wallonie puis sur Rome, avec, pour chacun d’eux, une version pour la télévision. Il aura présenté sur grand écran et commenté sur scène ces deux films plus de 500 fois.
Après avoir sillonné la Belgique, la Suisse, le Québec et la France avec la route des vikings entre Danemark et Normandie, c’est un tout nouvel univers qui s’ouvre à lui, dont son ami Max lui a ouvert la voie : Tokyo et les campagnes japonaises. Quoi de plus excitant que de quitter sa zone de confort pour s’immerger dans un nouveau monde où tout est différent. La curiosité et l’émerveillement restent les meilleurs ingrédients chez celui qui recherche de nouvelles émotions, au-delà de toutes références. Autant le Japon paraissait inaccessible, autant les enseignements tirés de cette nouvelle expérience lui ont ouvert un nouvel univers et l’ont petit à petit rendu familier à cette culture sociale et humaine qui sortent de tous les codes vécus et assimilés jusqu’ici. Cette découverte du Japon sur les traces du tournage de ce film signé de l’un des plus grands réalisateurs historiques d’Exploration du Monde, est un cadeau de la vie qu’il entend bien partager avec le public, dans toute la candeur de celui qui découvre un nouveau coin de la planète, pour la toute première fois !