Irrévérence! Festival

Irrévérence! Festival

Irrévérence ! Festival

Irrévérence ! Un festival impertinent

 

Les dictionnaires le disent : l’irrévérence est parallèle à l’esprit de critique, elle est la condition du développement de toute intelligence. Dans cette drôle de saison sous contrainte, il est bon de s’autoriser un moment de liberté un peu folle, se soustraire aux discours établis et suspendre les exigences du bon goût. Avec Irrévérence, découvrez des spectacles qui tirent la langue aux censeurs et s’autorisent quelques polissonneries.

 

Pourquoi Jessica a-t-elle quitté Brandon? (8 mars à 20h)

Pierre Solot et Emmanuel De Candido

Enquête théâtrale des plus jouissives qui nous emmène sur les traces bien réelles d’un ancien pilote de drone de l’US Air Force devenu lanceur d’alerte. 

 

Noire (10 mars à 20h)

Tania de Montaigne / Stéphane Foenkinos

« Noire » l’histoire méconnue de Claudette Colvin est le récit d’un combat qui dure encore contre la violence raciste et l’arbitraire.

 

IDA don’t cry me love (15 mars à 20h)

Lara Barsacq / Marta Capaccioli / Elisa Yvelin / Marion Sage

À l’origine, il y a Ida Rubinstein, danseuse légendaire des Ballets russes, muse de Serge Diaghilev, qui fit sensation à Paris au début du XXe siècle par son charisme, sa beauté et sa présence sulfureuse.

 

El pueblo unido jamás será vencido (17 mars à 20h)

Alessandro Bernardeschi & Antonio Montanile / Lisa Gunstone / Cie Wooshing Machine

El pueblo unido jamás será vencido, est une chanson chilienne écrite par le groupe Quilapayun, symbole d’unité et de solidarité populaire pour des citoyens opprimés de tous pays luttant pour la liberté et l’égalité.